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Elle s’est forcée à faire l’amour… et elle s'est perdue


Ça ne partait pas d’un mauvaise action. Elle voulait juste qu’il reste. Elle voulait qu’il l’aime. Alors elle a dit oui. Même quand tout son corps criait non.

Je vais vous partager l'histoire anonymisée de Clara parce qu'elle pourrait vous aider.

Pendant des semaines, des mois, peut être même des années, elle a “fait des efforts”, comme on dit. Elle a cru que ça allait relancer sa baisse de désir, sauver leur intimité, protéger son couple.

Mais en réalité… Elle s’est éloignée d’elle-même.


Quand le désir disparait
Quand le désir disparait

Se forcer, ce n’est pas consentir


Le consentement, ce n’est pas simplement “ne pas dire non”. C’est pouvoir dire oui avec tout son corps, sans peur, sans pression, sans obligation.

Quand on se force :

  • on ne se respecte pas,

  • on s’anesthésie,

  • on laisse l’autre faire l’amour avec une version absente de soi-même.

Et ça, sur le long terme, ça détruit tout : le désir, la confiance, la relation… et l’estime de soi.


Pourquoi elle s’est forcée ?


Parce qu’on lui avait appris que c’était son rôle.

Parce qu’elle avait peur qu’il parte.

Parce qu’elle croyait qu’aimer, c’était donner… même quand on n’a plus rien à offrir.

Parce qu’elle espérait que son désir reviendrait, avec le temps.

Mais la vérité c'est qu'il ne revient jamais par la contrainte.


Ce qu’elle aurait eu besoin d’entendre plus tôt :

Ce n’est pas vous qui êtes cassée. Ce n’est pas votre libido qui est “en panne”. Ce n’est pas en vous forçant que vous retrouverez une sexualité vivante.

C’est en vous écoutant.

En recréant de la sécurité intérieure.

En vous replaçant au centre.


Ce que vous pouvez faire maintenant


Si ce témoignage vous parle, voici ce que vous pourriez faire à partir de maintenant:

  • Écoutez votre corps : que dit-il ? Que ressent-il?

  • Nommez ce que vous vivez. Vous avez le droit de dire “je n’ai pas envie”.

  • Parlez-en, si vous le pouvez. Ou commencez par l’écrire. Vous pouvez mettre un commentaire sous ce post.

  • Et surtout : ne restez pas seule.


Qui consulter quand on n’a plus de désir sexuel ?


Vous aider à reconstruire une sexualité choisie et non subie, c'est mon métier, et je l'exerce de cette façon.

Une sexualité où l’on se sent respectée, désirée et en sécurité.

Parce qu’il est possible de se reconnecter à son désir. Mais pas en se forçant. En se retrouvant soi-même puis en retrouvant l'autre.

En tant que sexologue, j’accompagne en visio des femmes (mais aussi des hommes) qui se sentent perdu·es, qui n’ont plus de désir ou qui se forcent à avoir des rapports pour “sauver leur couple”...


Concrètement, que puis-je faire pour m'en sortir?


📌 Vous avez envie d’en parler ? Vous pouvez m’écrire directement par mail : contact@consensualite.fr .

Je suis soumise au secret professionnel et titulaire d’un DIU de sexologie clinique. Un cadre clair, une éthique solide - parce que votre sécurité est essentielle.

💬 Et si cet article vous a parlé, partagez-le. Il y a sûrement une autre personne qui vit la même chose… et qui n’ose pas encore le dire.


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